Bonjour Jean. Je comprends que ma réponse vous étonne. En effet, quoique adulte je reçois le martinet de façon consentie. Comment d’ailleurs pourrait-t-il en aller autrement à cet âge ? Mais ni « besoin » ni « envie » et encore moins « érotisme »! Je me fais fouetter pour expier ce que j’estime être des manquement graves à certaines valeurs que j’ai librement choisies. Et quand je dis fouetter, c’est vraiment fouetter! Rien de vénal, rien de sexuel. Pour moi c’est un « exercice pénitentiel ». Cela peut vous surprendre j’en conviens. Mais cet aveu n’autorise personne à me juger. Je suis par essence tolérant, y compris dans tout ce qui touche aux relations « intimes » que ce soit entre adultes ou adolescents. Mon « Credo » c’est: TOLÉRANCE ! La seule chose que je demande c’est de bénéficier en retour de la même ouverture d’esprit. Amicalement. CLAUDE.
Par : CLAUDE
Par : Bernard
Bonjour Julie, merci du rappel de ce dicton que j’avais un peu oublié mais ô combien fondé. Et comme il sonne le vécu pour vous
en plus,un vrai plaidoyer pour la fessée judiciaire!
bises
Par : Julie
Bonjour Bernard.
Merci d’abonder dans mon sens. Cela dit, la fessée doit rester le dernier recours, car c’est, hélas, un constat d’échec et la dernière solution à appliquer lorsque des ado ne laissent plus l’alternative. Mais avant d’en arriver là, je pense qu’il y a d’autres méthodes, dont la discussion et la persuasion. Lorsqu’un stade est dépassé, alors la fessée doit être donnée avec la sévérité requise vis-à-vis de la faute (manuelle, martinet, ceinture). Voilà Bernard, mon point de vue.
Durant mon adolescence, j’ai souvent dépassé les bornes. Je n’étais pas une ado perturbée ou sans repères, mais je n’en faisais qu’à ma tête, ne réfléchissant pas ou peu aux conséquences de mes actes. Pris indépendamment, mes bêtises ne méritaient peut-être pas des fessées comme j’en ai reçu (de bonnes réprimandes et privation de sorties auraient été suffisantes ), mais ce fut la répétition qui lassait mes parents et les amenait à sévir. Voilà l’analyse sur mon cas.
Amitiés.
Julie
Par : Jean Philippe
Bonjour Julie,
En effet, la fessée doit rester l’ultime recours s’agissant des punitions administrées aux adolescents.
J’ai, comme vous, Julie, reçu de nombreuses fessées entre 12 et 15 ans par ma mère car je lui répondais méchamment, lui mentais effrontément et aucune discussion ne pouvait s’établir entre elle et moi.
Alors, seule la fessée déculottée me calmait. Quand Maman fondait sur moi et m’empoignait je savais que j’allais passer un sale quart d’heure. A 15 ans, j’ai enfin mûri et, vexé d’être puni encore comme un petit garçon, j’écoutais attentivement les recommandations de ma mère et je ne reçus plus de fessées.
Mais, à l’âge adulte, je repris mon côté rebelle, inventai à nouveau des histoires à dormir debout ce qui agaça ma jeune épouse qui me menaça de me donner la fessée si je m’obstinais.
Le mot » fessée » prononcé dans la bouche de ma chérie m’émoustilla et je reçus à nouveau de belles fessées cul nu couché sur ses genoux.
Aujourd’hui, à 65 ans, je vis avec une compagne de 42 ans et je reçois toujours la fessée, mais ce n’est pas toujours par punition, vous m’aurez compris !
Amitiés
Jean Philippe
Par : Bernard
Bonjour Julie,
bien sûr dans l’éducation et en toute circonstance, il faut privilégier le dialogue, c’est tout à fait clair ; mais on sait aussi que lorsque les mots n’ont plus aucune portée, il faut passer aux actes ; et la fessée est alors souvent une bonne réponse aux débordements et aux excès et qui a largement prouvé son efficacité. Tel que vous le racontez, vos parents ont dû vous reprendre en main à l’adolescence, ce qui m’amène à quelques réflexions : jusque là vous aviez « bénéficié » de l’absence de fessées et de l’absence d’un martinet à la maison jusque vers vos 14 ans, il est probable que votre esprit de rébellion et votre caractère contestataire et irrespectueux se soient déjà formés pendant votre petite enfance car vous n’étiez alors pas reprise ni sanctionnée, alors que quelques fessées avec les lanières de martinet sur les jambes nues auraient peut être permis de réguler et d’atténuer vos fautes avant de parvenir à une adolescence sortie des sentiers battus. D’où une reprise en main plus musclée et à la ceinture vu vos écarts qui n’avaient cessé de croître, vos parents prenant alors conscience que vous auriez du être corrigée plus tôt; mais ce n’est là que mon avis.
bises
Par : Julie
Bonjour Bernard et Jean-Philippe,
Je tenais à rectifier les faits. Mes premières fessées ont été administrées à l’âge de 11 ans pour des dérives scolaires et le martinet n’a jamais été un objet présent
à la maison. C’était soit la fessée à main nue soit la ceinture (beaucoup plus radical). Avant cet âge, je n’ai pas vraiment de souvenirs de frasques nécessitant
une fessée. Peut-être y en avait-il, mais sincèrement, je ne sais plus. Connaissant mes parents, si j’avais dû être reprise en main plus tôt, alors ils l’auraient fait. Mon sentiment est que l’adolescence avançant, mon caractère et mon comportement se sont modifiés au point de fâcher mes parents.
Amitiés.
Julie.
Par : CLAUDE
Bonjour Bernard. « Fessée Judiciaire » dites vous ? Allez donc à Singapour et vous serez fixé sur son efficacité! Certes ce châtiment corporel ne sanctionne que les incivilités ou les petits larcins qui chez nous son quasiment impunis, soit en raison du sursis, soit par un « aménagement de peine « comme le bracelet électronique, qui n’a pas empêché celui qui le portait-(en toute légalité car c’était pendant une période de sortie autorisée)-, d’assassiner le Père « Amel « pendant son office! Voilà où nous en sommes! Je vous laisse le soin d’apprécier mon commentaire. Cordialement. CLAUDE.
Par : Julie
Bonjour Claude,
Ne serait-ce pas un mythe, ces fessées à Singapour appliquée à la cane ? J’ai déjà lu des articles sur ces fessées plus que sévères ( appliquées même à des femmes ), mais j’ai du mal à croire que ces corrections soient toujours en vigueur actuellement. Dans le passé, sûrement, mais qu’en est-il réellement aujourd’hui ?
Amitiés.
Julie
Par : CLAUDE
Je poursuis: quand j’étais en fonction j’ai lu un article dans le « Quotidien du médecin » qui exposait en détail le déroulement de ces châtiments. Ils sont si sévères qu’un médecin assiste obligatoirement à leur exécution et peut suspendre voire différer le châtiment. Evidemment de nos jours ces procédés sont inimaginables chez nous. Pour autant je pense que c’est un sujet de réflexion qui mérite d’être pris au sérieux. Amicalement. CLAUDE.
Par : Bernard
Bonjour Julie,
ces punitions restent fréquemment appliquées à Singapour, et on entend régulièrement des occidentaux y être condamnés pour des larcins comme des chèques en bois ou autres escroqueries. Ces fessées judiciaires sont infligeables à des hommes de 15 à 55 ans après une visite médicale préalable. Peu compréhensible mais les femmes en sont exclues, ces punitions n’étant jamais publiques. Pour les habitants c’est surtout pour réprimer le cambriolage ou le viol que ces peines sont infligées et cela va de 5 à 50 coups de cane donnés aux fautifs. En allant sur le site Corpun, on peut prendre connaissance de l’histoire et le des pratiques des châtiments corporels dans les différents pays du monde, avec des photos
En Indonésie et au Pakistan les fessées judiciaires à la cane sont mixtes et souvent données en public
Par : sophiekm
La même fascination que la mienne, mais avoir eu la chance de connaître la martinet par la soeur du copain bien dommage