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Channel: Commentaires sur : Le fascinant martinet de mes voisins
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Par : chris B

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Loup, avez-vous assisté à d’autres fessées de Benoît et de Martin ?
Si oui, cela serait bien de les raconter sur le blog.


Par : Loup

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Bonjour chris B !
J’ai assisté à d’autres fessées dans mon enfance et mon adolescence, pas qu’au sujet de Benoît et Martin d’ailleurs ; et je compte effectivement les raconter sur ce blog !

Par : chris B

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Merci de votre réponse Loup.

J’attends avec impatience les autres fessées de Benoit et Martin, ainsi que ceux des autres ados.

Par : LAMBERCIER à Maitre LOUP

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A MAITRE LOUP,
Votre messagerie ne fonctionne pas; « messages non délivrés »

Par : CLAUDE

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Vous contentez vous de fouetter pour punir ou bien est-ce pour vous un plaisir ? Entre adultes consentants,cela ne me choque pas. CLAUDE.

Par : CLAUDE

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Bonjour Maître Loup. »Une bonne fessée remet les choses dans l’ordre », dites vous. Sauf que dans votre récit,c’est à une sévère fouettée au martinet qui plus est en public à laquelle nous assistons! Et c’est tout autre chose,j’en parle d’expérience. Je ne peux pas vous désapprouver, bien au contraire, quand vous dites : »Une éducation stricte et ferme ça sert à quelque chose ». Et Dieu sait que je déplore que ce type d’éducation soit vilipendé aujourd’hui ! Néanmoins, je crois comprendre que vous n’avez pas « goûté » vous-même à ces châtiments dont vous vantez, à juste titre, l’efficacité. Il semble même que le malheur des uns (en l’occurrence le cadet fouetté), fasse fantasmatiquement votre bonheur. Vous frissonniez dans votre lit en y repensant. Vous reconnaissez même que la vue d’un martinet était pour vous une source de plaisir au point que vous avez failli dévaliser la maison de vos amis pour toucher cet objet »fascinant » pour vous. Ne voyez là aucune critique. Chacun est comme il est et on ne s’est pas fait.Cordialement. CLAUDE.

Par : mark.saniez

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Bonjour,
suite au récit bien détaillé de « Maître-Loup » le premier récit, je me suis bien reconnu dans cette histoire vécue ! Malgré le fait que je sois fils unique, cela n’a nullement empêché ma mère de me discipliner à sa façon.
Nous étions au milieu des années 1970. Elle m’avait mise dans une école privée avec des religieuses, qui ne laissaient rien passer. De plus, comme ma mère travaillait avec ses autres sœurs et cousines dans une grande usine textile et qu’il fallait que je lui boutonner sa longue blouse jaune en nylon qu’elle revêtait, puis elle finissait de m’habiller en veillant à bien tendre mes bretelles à pattes de cuir à boutons et de boutonner ma propre blouse en nylon et mettre mon béret sur la tête.
En fermant la porte de la maison, elle me rappelait chaque jours : « travaille bien à l’école et surtout tu ne te fais pas remarquer sinon maman sera obligée de te fesser avec son martinet. »
En me déposant chez sa tante, qui avait été institutrice, je devais réviser mes leçons sous la surveillance de cette tante et… de son martinet. Lorsqu’elle remarquait quelque chose qui n’allait pas elle me donnait quelques coups de martinet sur mes fesses, et ceci déjà de bon matin !
À 8h45 c’est elle qui me conduisait à l’école sans se séparer de son martinet. A l’école, filles et garçons étaient séparés et gare celui ou celle qui essayait de passer de l’autre côté ! Le martinet réchauffait nos fesses !
C’étaient les religieuses qui nous faisaient la classe. Leur bureau était placé bien haut sur une estrade, ce qui leur permettait de mieux surveiller la classe. Si jamais elle voyait qu’on n’écoutait pas ou que l’on bavardait, elle nous convoquait devant son bureau. Si l’on était incapable de répéter ce qu’elle venait de dire, elle nous faisait monter sur l’estrade et reposer le buste bien à plat sur le bureau, remontait notre blouse haut dans le dos et, sans prévenir, schlack ! schlack ! c’était une volée de tournée minimum 10 coups de martinet bien appuyés qui nous mettaient en pleurs. La fessée était suivie par une mise à genoux mains sur la tête sur l’estrade durant plusieurs minutes avant de pouvoir regagner notre place.
C’était encore une sœur qui surveillait la récréation et bien entendu, martinet à la main. Un mauvais bulletin était puni d’une fouettée à l’école, correction doublée par ma mère à la maison par le martinet sur mes fesses nues et mise au lit à 19h et privation sortie pendant toute la semaine.
Bref à l’époque nos mères et nos enseignantes ne plaisantaient pas et ce régime a duré jusqu’à mes 12 ans, mais c’était comme ça pour tout le monde.

Par : CLAUDE

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Bonjour Mark Saniez. Vous me donnez une merveilleuse occasion de mettre en œuvre la résolution que j’ai prise, à la suite d’un échange avec Edmée, de modifier ma perception des châtiments corporels en public. Les religieuses maniaient donc, avec succès, le martinet : 10 coups sur les fesses et mise en pénitence devant toute la classe. Mauvais bulletin et fouettée à l’école puis, comme de juste, idem à la maison. Et ce en 1970 ! Quelle bonne surprise! Comme le dit Maître Loup : « une bonne fessée remet bien souvent les choses dans l’ordre » et, ajoute-t-il : « Une éducation stricte sert a quelque chose ». J’approuve entièrement ses propos. Il y a toutefois une différence entre vous et Maître Loup. Ce dernier avoue que le fait d’avoir assisté de près ou de loin à une correction le faisait : « frissonner de plaisir le soir dans son lit » ! Là on n’est plus dans le domaine de la correction, mais dans une forme de « cruauté jubilatoire » comme dit Edmée, ce qui n’est pas la même chose. Je ne juge pas, je constate. À chacun sa morale. Pour moi, je désapprouve, mais cela ne concerne que moi. Dans votre commentaire, je n’ai rien trouvé qui renvoie à ce plaisir douteux. Mais quand bien même il en serait ainsi, sachez que je ne vous condamne pas. Merci pour ce commentaire qui m’a permis de mettre en œuvre les résolutions prises à la suite de mon « introspection », suggérée à juste titre par Edmée. Cordialement. CLAUDE.


Par : Loup

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Bonjour Claude,
« Cruauté jubilatoire » ? Je trouve le terme un peu fort, je parlerais plus de « voyeurisme jubilatoire » ! Mais vous n’avez pas forcément tort non plus, c’est assez difficile à définir. Mais d’un autre côté, comment rester insensible en assistant à une telle déculottée, administrée par des lanières de cuir conçues spécialement à cet effet ?

Par : Loup

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Bonjour à vous, désolé du retard de ma réponse !
En effet, je n’ai hélas pas goûté à un tel traitement à une époque où j’en mourrais d’envie… Au point de me fabriquer une cravache, avec, devinez quoi ? Un élastique scotché sur une règle carrée… Non, non, ce n’est pas une plaisanterie !… je faisais avec les moyens du bord, que voulez-vous !
Quant au reste de vos propos, je l’assume !
Je n’ai heureusement pas « dévalisé » la maison de mes amis (si j’avais décidé de monter à l’étage, j’aurai juste fouillé dans les placards de la cuisine, rien de méchant !) mais comme j’étais un enfant raisonnable malgré tout, je ne l’ai pas fait, même si je l’ai regretté.

Par : CLAUDE

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Bonjour Loup. En effet, la fessée remet bien les choses dans « l’ordre », hélas perdu de vue aujourd’hui. Pour moi, c’était fessée plus fouettée au martinet, fesses et cuisses nues ! Inutile de vous dire que j’ai filé droit car j’ai été ainsi éduqué jusqu’à 19 ans, la majorité étant à 21. Mais grâce au martinet j’ai poursuivi des études que sans cela, vu mon caractère paresseux, je n’aurais jamais réussi. Merci à mes parents, loin de les blâmer je les approuve totalement et mon seul regret est que ce type d’éducation ne soit plus aujourd’hui accepté et qu’il peut même parfois être considéré comme de la « maltraitance »! Cela me fait sourire, je n’en suis pas mort et n’en suis pas du tout « traumatisé »! Cordialement. CLAUDE.

Par : chris B

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Loup, avez-vous assisté à d’autres fessées de Benoît et de Martin ?
Si oui, cela serait bien de les raconter sur le blog.

Par : claude

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Bonjour Loup. Votre récit me fascine autant qu’a pu vous fasciner le martinet. Votre « voyeurisme jubilatoire », selon vos propres termes, nous donne à lire un récit fascinant. Vous analysez avec finesse vos émotions : votre coeur, dites vous : « battait la chamade ». Voilà indubitablement l’effet de l’émotion dans laquelle vous plongeait le fait de voir votre infortuné voisin recevant le martinet. Du coup,je comprends votre « affinité » de fesseur et non pas… de fessé ! Je présume que vous feriez un excellent Maître pour tous ceux qui en ont besoin d’un, et, sachez le : moi peu-être ! CLAUDE.

Par : cambaceres

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J’étais un peu passé à côté de ce récit, surtout ses conclusions.
Plus jeune, j’avais pu voir de près le martinet d’un de mes camarades et il m’avait impressionné. Je compris vite que c’était un instrument redoutable, surtout quand je voyais les marques sur les cuisses des copains. Cette crainte fut renforcée quand je vis l’un d’eux en recevoir devant tout le monde dans la rue. La curiosité initiale avait disparu et le spectacle n’avait rien eu de « jubilatoire » pour moi, bien au contraire. Et dans ma tête, je me mettais à la place du « corrigé » et non du fouettard. Pensais-je que ça m’arriverait à moi aussi ? Sans doute ! C’était une possibilité que j’envisageais. Après tout j’en avais déjà été menacé. Et cela arriva ! j’en fis à mon tour la douloureuse expérience.
Plus tard, alors que le martinet s’était installé dans mon éducation, ma mère ne manquait pas d’en vanter les mérites. Comme il pendait bien visible au salon, les voisins en visite pouvaient l’apercevoir, avec leurs enfants parfois. Ceux-ci étaient plus jeunes que moi et mon martinet les effrayait un peu car il leur était arrivé d’en voir les effets sur mes cuisses. Ils avaient raison d’avoir peur. Comme ma mère changeait de martinet à chaque rentrée, l’un d’eux finit chez eux.

Par : CLAUDE

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Bonjour Cambacérès. Vous n’êtes pas le seul à avoir connu la peur du martinet. Certes les fouettées que je recevais étaient rares, mais quand le martinet tombait, il tombait ! Fesses et cuisses nues, après une sévère fessée paternelle ! Mon père étant un travailleur manuel, ses mains étaient de vrai battoirs. Et il n’était pas rare que je sois en plus privé de quelque chose, diner, sortie etc. Voilà comment j’ai été éduqué, et aujourd’hui, plusieurs décennies plus tard, je ne le regrette pas. Amicalement. CLAUDE


Par : Jean

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Bonjour Cambacérès et Claude,
je trouve ce récit, que j’avais omis de lire, très émouvant et cela renforce mon idée sur la fascination que peut provoquer la vue d’un martinet et aussi le résultat de son action sur des cuisses dénudées ! Compte tenu de mon âge, j’ai aussi bien connu le martinet, ainsi qu’une sœur de quatre ans mon aînée. A la maison, j’ai toujours vu un martinet pendu dans la cuisine, et souvent décroché pour cingler les cuisses du fautif !
Mais j’avais un copain de classe qui, lui, était épargné car ses parents, des amis proches, étaient tout à fait contre l’emploi de cet instrument ! Et le pauvre ne cessait de me poser des questions sur ce martinet que je redoutais, mais à ses yeux, j’étais un « héros, alors j’en rajoutais un peu bien sûr ! Chaque fois que cela était possible, il me demandait de toucher les lanières et, si ma mère n’était pas dans les parages, je décrochais le martinet et le lui tendais en dépit de l’interdiction de le prendre, sauf quand nous étions fouettés « en grande pompe ». Nous devions alors devions le lui apporter en lui demandant humblement « mère, voulez-vous me fouetter pour tel motif ». 8Il fallait le lui présenter en le tenant par les lanières à l’exclusion du manche réservé à notre mère. « Les lanières sont faites pour vous fouetter et donc vous pouvez les toucher pour sentir ce qu’elles vont vous faire ».
Puis l’âge aidant, quand j’eus douze ans, ma grande sœur eut le droit, ou le devoir, de me corriger. Avec ses seize ans elle ne s’en priva pas !
Et un jour où elle me fouettait devant mon copain, celui-ci lui dit « tu sais, j’étais complice de Jean pour cette bêtise ». Et ma sœur de répondre « et bien tu seras fouetté aussi comme lui ! « Et j’ai vu le regard de mon copain briller!
Depuis ce jour, nous jouâmes souvent, à sa demande, à faire être le prof sévère ou le grand frère fouetteur pour notre plus grand plaisir ! Et cela dura jusqu’à nos études supérieures.
Alors vive le fascinant et redoutable martinet de son voisin !

Par : CLAUDE

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Bonjour Jean. Contrairement à vous, le martinet ne me fascine pas du tout, je le crains avant tout et, pour tout vous dire encore aujourd’hui. Quant au cérémonial il n’y en avait pas chez moi. Ma mère ou mon père prenaient le martinet pour me fouetter sans plus de formalités. J’étais assez souvent fouetté en raison de mon caractère difficile; et souvent, une sévère fessée, le plus souvent paternelle, précédait le châtiment du fouet. D’une certaine façon je vous envie puisque pour vous la fessée est un jeu, disons le carrément, à tendance érotique. Pour ma part, moi qui reçois encore le martinet, celui-ci m’inspire plus de crainte que de « fascination » car je sais qu’une correction m’attend d’ici peu. Le seul fait d’y penser me donne des frissons, mais comme dit la Bible: « la crainte du Fouet est le commencement de la sagesse ». Amicalement. CLAUDE.

Par : Julie

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Bonjour Claude,
J’aime bien le proverbe « la crainte du Fouet est le commencement de la sagesse », car il s’applique bien à ce que je pense et c’est lui qui m’a fait mûrir.
Amitiés.
Julie.

Par : CLAUDE

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Bonjour Julie. Voilà au moins un point où nous sommes en parfait accord. J’en suis particulièrement heureux, car , à travers nos échanges, je sens une convergence de nos opinions et beaucoup de sympathie, voire de « complicité. Très chaleureusement. CLAUDE.

Par : Jean

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Bonjour Claude,
Merci pour votre réponse qui m’étonne un peu, vous dites recevoir encore le martinet et le redouter; mais, si vous me le permettez, quand à l’âge adulte on reçoit « encore » le martinet c’est de façon consentie ! Donc c’est une sorte de besoin ou une envie, mais cela s’apparente fort à mon expérience : je redoutais les corrections au martinet de ma mère, mais j’aimais donner ou recevoir avec mon copain. Certes, ce n’était pas aussi sévère et de plus nous faisions cela pour jouer et, vous l’avez dit, il y avait une bonne dose d’érotisme. Et dire que je ne connaissais pas ce mot à l’époque !
C’était une fascination pour moi, et envie ou devoir pour vous, mais alors fascination pour la personne qui tient le manche ?
Amicalement à vous de Jean

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