Bonjour Cambacérès. Vous n’êtes pas le seul à avoir connu la peur du martinet. Certes les fouettées que je recevais étaient rares, mais quand le martinet tombait, il tombait ! Fesses et cuisses nues, après une sévère fessée paternelle ! Mon père étant un travailleur manuel, ses mains étaient de vrai battoirs. Et il n’était pas rare que je sois en plus privé de quelque chose, diner, sortie etc. Voilà comment j’ai été éduqué, et aujourd’hui, plusieurs décennies plus tard, je ne le regrette pas. Amicalement. CLAUDE
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